Risk

Ce week-end, j’ai joué à Risk. Ca faisait longtemps que je n’avais pas fait de partie, et j’avais encore en mémoire les soirées endiablées que j’avais pu faire quand j’étais étudiant (à une époque où je n’avais pas encore d’ordinateur ^^). Kamchatka, Yakoutie, Territoires du Nord-Est, que de mots évocateurs de bataille plus ou moins meurtrières selon les jets de dés !

Et dans un sens, je suis assez content de ma performance, je ne me rappelais plus trop les stratégies du début, mais en tatonnant, en faisant des assauts sans pour autant courir au suicide, j’ai réussi à relativement bien contrôler le monde :)

Enfin ça, c’est ce que j’aurais aimé qu’il se passe. La réalité fut un peu plus brutale. Un mauvais génie qui passait dans le coin, m’a soufflé l’idée de contrôler l’Asie. En voilà une super idée, me suis-je dit, et j’ai donc concentré toutes mes forces en Asie, pendant que mon adversaire, disposait ses troupes en Océanie, et en Amérique du Sud.
Le mauvais génie (je ne vois que lui pour expliquer ma défaite cinglante), a subtilement truqué les dés. En effet, à chaque fois que je les lançais, je ne pouvais pas faire plus que cinq. Par contre, en ce qui concerne mon opposant, ça ne pouvait pas descendre en dessous de cinq. Ainsi, en quelques tours, je me suis fait simplement et proprement laminer. Ecrasé par un rouleau-compresseur, contre lequel je n’ai pas pu résister.
Quelques tours avant la fin, je n’avais plus qu’une solution : sortir le drapeau blanc afin d’épargner les 3/4 troupes qu’il me restait.

Notes pour la prochaine partie : Pour dominer le monde, vaut mieux commencer petit, et éviter d’essayer de contrôler l’Asie en début de jeu :)

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